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1/ L’actualité des 2 mois écoulés :

L’actualité de ces dernières semaines a été chargée & compte-tenu des congés estivaux, je n’en ai pas autant diffusé via mon shaarli que je ne l’aurais fait habituellement, voici donc l’essentiel de ce que j’en ai retenu :

Paris, le 6 juillet 2015. Communiqué de presse.

Le 3 juillet 2015, Silicon.fr a révélé que la discussion autour des formats bureautiques de l’administration serait remontée jusqu’à l’Élysée. La DISIC (Direction interministérielle des systèmes d’information et de communication) souhaite en effet que ODF, le seul standard réellement ouvert de bureautique, soit désormais le seul recommandé par l’État. Le lobbying exercé par Microsoft s’est activé et, au plus haut niveau de l’État, on s’intéresserait à ce débat, ce qui n’est pas sans rappeler les épisodes de 2009 sur le référentiel général d’interopérabilité (RGI). L’April appelle le Président de la République et le gouvernement à ne pas céder aux mouvements d’influences et à agir dans l’intérêt à long terme de l’ensemble des citoyens français et de leurs administrations.
Le choix d’ODF dans le RGI : pour un standard ouvert incontestable

Paris, le 7 juillet 2015, communiqué de presse.

La dernière version de travail du RGI, avant la validation finale, maintient le format ODF comme format recommandé pour les documents bureautiques au sein des administrations. Cette nouvelle version du RGI énonce des critiques argumentées sur le format OOXML de Microsoft. L’April remercie la DISIC d’avoir su résister aux pressions et de continuer à agir dans l’intérêt à long terme de l’ensemble des citoyens français et de leurs administrations.

Les formats ouverts sont une nécessité dans une société numérique comme la nôtre !

Derrière ce titre gustatif se cache un jeu de mots dont j’ai honte. Comme vous vous en doutez, cet article va être consacré à la plus célèbre fille d’Ubuntu, j’ai nommé la LinuxMint en déclinaison Cinnamon. Cela faisait une petite éternité que je n’avais plus consacré d’article à la LinuxMint « principale ». Le dernier article remontait à mai 2013.

La version 17.2, troisième version basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, est sortie le 30 juin 2015.

Du nom de code de Rafaela, elle propose Cinnamon 2.6 (à la naissance agitée, j’y reviendrais plus tard), des réglages affinés dans tous les domaines, un meilleur support pour l’usine à gaz qu’est l’UEFI, un noyau Linux 3.16 (comme celui qui propulse Debian GNU/Linux Jessie et la Linux Mint Debian Edition), ainsi qu’une logithèque mise au goût du jour.

Il s’agit d’une très bonne distribution que je recommande à celles & ceux qui savent déjà se servir d’un ordinateur (puisque pour les débutants, je recommande HandyLinux qui vient de sortir sa version 2.2 !  De plus Cinnamon est un environnement très intéressant & sympathique.
Une distribution comme HandyLinux, si petite et jeune soit-elle, demande tout de même une certaine organisation, des prises de décisions, des tâches à effectuer, une maintenance à assurer, un serveur à payer, etc.
Généralement, une distribution est construite par les développeurs, puis partagée sur le net via un site ou un dépôt. La communauté des utilisateurs prend alors le relais pour accueillir cette distribution et ses utilisateurs au sein d’un forum, distiller les news sur un blog, ouvrir un salon IRC et/ou Jabber, maintenir une documentation, assurer la traduction, etc.Sur HandyLinux, c’est légèrement différent : les rôles ne sont pas si clairs car notre collégialité n’est pas fixée :
BTRFS est un système de fichiers multi-racines intégré au noyau Linux en 2013 et déclaré stable. Il permet de stocker 16 millions de To par volume (16 Eo) et apporte de nombreuses fonctionnalités. Je vous laisse vous référer à la page Wikipedia.

Il va falloir que je me penche sur ce système … j’utilise Ext4 depuis 2006 !

Bien que Debian ait préféré le dérivé Libav de FFmpeg, après avoir examiné la situation, l’équipe Multimédia mainteneurs Debian a décidé de revenir à FFmpeg. Le retour à FFmpeg est fait pour des raisons de sécurité, la gestion de bug, les différences de fonctionnalités, les contributeurs amont et le choix fait par d’autres distributions. Le sujet  FFmpeg contre Libav a été largement débattu pendant des mois. L’annonce du retour de FFmpeg sur Debian en tant que fournisseur libav se trouve sur cette liste de diffusion.

L’actualité du RGI a été discutée lors d’une émission sur radio RMLL 2015 par Jeanne Tadeusz de l’April en compagnie de Laurent Séguin de l’Aful et Christophe de l’association la Mouette. D’une durée de 35 minutes, elle est à la fois une occasion d’expliquer ce qu’est le RGI, quels en sont les enjeux, l’historique et l’actualité en cours.

Titre : RGI
Intervenants : April, Aful, La Mouette
Date : 8 juillet 2015
Durée : 35 min
Lien : Le podcast au format ogg et mp3

Interopérabilité, j’en parlais justement au début de ce billet ! C’est quelque-chose d’important !

Déjà plus de 20 ans que les Vieilles Charrues font de la commune de Carhaix l’un des épicentres de la scène musicale française ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce qui est aujourd’hui l’un des plus gros festivals d’Europe, n’avait à sa naissance pas la moindre vocation musicale et encore moins de promouvoir GNU/Linux !

Désormais, quelque 225 000 spectateurs viennent vibrer chaque été au cœur de la Bretagne. Plus qu’un festival, les Vieilles Charrues, c’est l’envie de prendre son destin en main, de faire bouger les choses et de s’opposer au désert qui menaçait la région.

Après quatre jours d’un festival riche d’euphorie et de décibels qui aura attiré 225 000 spectateurs, les Vieilles Charrues reviennent du 16 au 19 juillet 2015 pour une 24ème édition en mode « Alice au pays des merveilles »

Depuis 2009, ce festival permet également la promotion de GNU/Linux durant quatre jours au travers d’un énorme webcafé tournant sur plateforme Ubuntu (2 000 festivaliers accueillis chaque jour !) avec la participation de Ubuntu-fr.org et de l’association infothema de Bégard.

Rien de tel qu’un bon festival de musique … et des logiciels libres !
Vous avez du voir que Dogmazic fait sont grand retours !
Red Hat a annoncé, le 4 juin dernier, les « Software Collections » en version 2.0. Il s’agit d’un canal (terminologie de Red Hat pour désigner un dépôt logiciel) contenant des logiciels dont les versions sont plus récentes que dans les canaux habituels de la distribution RHEL. Une variante communautaire de ce canal est aussi disponible sur le site Software Collections.
Je ne connais pas trop … je suis resté pour le moment du coté « .deb » de Debian …
… il faudrait que j’explore un jour cet « branche » dans l’arbre des distributions !

Alors, Windows ou Linux ? Peut être FreeBSD ou encore Mac OS ? À cette question, la majorité des interrogés répondront “Bah Windows, c’était déjà installé quand j’ai acheté mon PC et ça marche bien”.

En effet, Windows est aujourd’hui le système d’exploitation le plus populaire et le plus utilisé, un triomphe incontesté et incontestable parmi les OS sur les terminaux grand public. Alors, pourquoi changer ?

C’est une bonne question ! Pourquoi changer ? Et bien vous trouverez ici & (entre autre) quelques raisons que je pense être valables. Qu’en pensez-vous ?
Depuis des années sur ce blog, je chronique des distributions GNU/Linux, aussi bien des très bonnes distributions (comme les Debian GNU/Linux, Slackware, ArchLinux, Fedora Linux, Ubuntu et ses dérivées principales), comme les pires pollutions de trottoirs (comme les feues Micro-R OS, Pear OS, ColorwheelOS ou encore Update Ubuntu Mate OS).
C’est vrai que pour le néophyte, cette grande diversité peut paraître comme une faiblesse, moi, je la considère comme une force car ainsi il n’y a pas de monopole & la liberté de choix est vraiment là : ainsi chacun peut en pratique choisir LA distribution qui lui convient, qui lui ressemble (et si un jour celle-ci s’écarte des souhaits de l’utilisateur, celui-ci a encore le choix…).
L’été c’est le moment des vacances, le farniente, les apéros, la plage… Mais c’est également la période où l’on profite des longues journées et du beau temps pour faire des travaux dans la maison.
Notre pinchot se sentant l’âme d’un bricoleur a choisi de réorganiser son igloo. Mais avant de tout casser, il aimerait bien voir ce que ces aménagements pourraient donner. C’est là qu’il tombe sur ce superbe logiciel Sweet Home 3D qui va lui permettre de visualiser les agencements prévus.

C’est un superbe « petit » logiciel que je connais de longue date & utilise occasionnellement … je le recommande vivement !

Il y a un mois aujourd’hui commençait l’édition 2015 des RMLL à Beauvais. Nous vous proposons en seconde partie de dépêche un retour en forme de remerciements, les liens vers les vidéo-conférences, et quelques photos prises entre autre sur le Village du Libre.
Comme chaque année, les RMLL sont l’occasion de promouvoir les logiciels libres, mais aussi les matériels libres & plus généralement la culture libre auprès du grand public, afin de sensibiliser un maximum de personnes aux enjeux derrière ces notions.
Vous vous souvenez d’Ubuntu One, ce service de Canonical qui permettait de synchroniser des fichiers dans leur cloud ? Le service n’a pas fonctionné et avait été vivement critiqué à sa sortie car même si les clients étaient disponibles sous licence libre, ce n’était pas le cas du logiciel serveur.
Jeff Hoogland a annoncé il y a quelques jours, la sortie de Bodhi Linux 3.1.0. La nouvelle version de Bodhi Linux est importante car elle est la première version à être dotée du Moksha Desktop. « Cette version est plus importante pour l’équipe Bodhi que nos mises à jour des versions précédentes. La raison en est que cette version est la première à utiliser le bureau Moksha que nous avons dérivé de E17. Parce qu’il est construit sur la base solide que fournit E17, aussi cette première version du bureau Moksha est stable et est utilisable dans un environnement de production. Les utilisateurs actuels de Bodhi Linux 3.0.0 ne seront pas automatiquement migrés vers Moksha via les mises à jour du système. Ceux qui désirent migrer de leur bureau Enlightenment actuel vers Moksha peuvent le faire en suivant les instructions ici.  » Plus d’informations et fonds d’écrans sont disponibles dans l’annonce du projet.
Je suis curieux de tester ce nouveau desktop (car j’aimais bien la version E17  d’Enlightenment…)
Le projet GNOME fut fondé le vendredi 15 août 1997 par deux étudiants mexicains, Miguel de Icaza et Federico Mena Quintero, dont le but était de produire un environnement de bureau entièrement libre, élégant et simple à utiliser.
Gnome 2 était très bien (& Mate aussi), mais j’aime moins Gnome 3 (même s’il y a de petites choses sympathique), dommage…

La suite bureautique multiplateforme LibreOffice 5.0 a été publiée le 5 août 2015. Cette nouvelle version non finalisée est destinée aux utilisateurs expérimentés — les autres, tel que les entreprises et les administrations sont invités à rester sous LibreOffice version 4.4.5.

Nous vous proposons la traduction d’un billet du blog d’un meneur dans le développement de LibreOffice.

J’ai déjà eu l’occasion d’utiliser cette nouvelle version : elle marche plutôt bien (je n’ai rencontré aucuns soucis particuliers).

Plasma, KDE Frameworks et KDE Applications suivent un cycle de développement indépendant les uns des autres depuis la fin de KDE 4. Cependant, le hasard fait que cette fois-ci on assiste à la sortie rapprochée de ces trois projets.

À la sortie de Plasma 4.11, la dernière version basée sur Qt4, les développeurs ont promis de maintenir cette dernière pendant deux ans, en corrigeant les bogues mais sans rajouter de fonctionnalités afin d’assurer une transition douce vers Plasma 5. Cette période étant écoulée, la sortie de Plasma 4.11.22 marque la fin de l’ère KDE 4. Mais la succession est maintenant vraiment mûre et devrait arriver massivement dans nos distributions favorites.

Ça fait longtemps que j’ai utilisé KDE (ça n’était vraiment pas mon environnement favoris, je lui préfère de loin XFCE), je vais devoir m’y remettre pour me tenir informé des dernières nouveautés.

Tout ceci me donne l’idée de faire prochainement un dossier sur les environnements de bureau

>>> Plus d’actualités @
shaarli.sweetux.org & rss.sweetux.org


2/ Le dossier du mois :

INVENTONS L’ÉCOLE DE DEMAIN – Partie 1 :

LOGICIELS LIBRES & ÉDUCATION

Petits rappels de deux définitions importantes pour débuter la première partie de ce dossier qui sera constitué en grande partie d’extraits des différentes publications citées en fin de celui-ci:

EDUCATION :

L’éducation est, étymologiquement, l’action de « guider hors de », c’est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés physiques, psychiques et intellectuelles, les moyens et les résultats de cette activité de développement. L’éducation humaine inclut des compétences et des éléments culturels caractéristiques du lieu géographique et de la période historique.

Chaque pays dans le monde dispose de son propre système éducatif, avec un rôle traditionnellement dévolu aux parents d’un enfant (ou à leur substitut) d’amener cet enfant aux mœurs de l’âge adulte, et une intervention souvent croissante des États.

L’éducation est considérée comme un élément important du développement des personnes, d’où le développement d’un droit à l’éducation. Un système éducatif performant est donc un avantage majeur. Inversement, être privé d’éducation sera considéré comme un lourd handicap.

LOGICIEL LIBRE :

Un programme est un logiciel libre si vous, en tant qu’utilisateur de ce programme, avez les quatre libertés essentielles :

  • la liberté d’exécuter le programme comme vous voulez, pour n’importe quel usage (liberté 0) ;

  • la liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de le modifier pour qu’il effectue vos tâches informatiques comme vous le souhaitez (liberté 1) ; l’accès au code source est une condition nécessaire ;

  • la liberté de redistribuer des copies, donc d’aider votre voisin (liberté 2) ;

  • la liberté de distribuer aux autres des copies de vos versions modifiées (liberté 3) ; en faisant cela, vous donnez à toute la communauté une possibilité de profiter de vos changements ; l’accès au code source est une condition nécessaire

Je vous invite à écouter plus particulièrement la conférence de ‘rms’ que j’ai enregistrée au printemps dernier @ BREST : Il y aborde l’ingénierie inverse, la mission sociale de l’éducation (à certaines valeurs…), mais aussi les outils pédagogiques qui doivent être sous licence libre afin de favoriser le partage. Il y aborde aussi les sujets suivants : cloud & SAAS (en précisant que confier ses données à des tiers c’est une perte de contrôle de son informatique, et que les écoles devraient s’interdire de créer des comptes aux élèves chez les GAFAM). Mais j’aborderais certains de ces différents points dans les prochaines parties de ce dossier.

Quel est le lien entre logiciel libre et éducation ?

La liberté du logiciel joue un rôle fondamental dans l’éducation. Les établissements d’enseignement de tous niveaux doivent utiliser et enseigner le logiciel libre car seul celui-ci leur permet de remplir leurs missions essentielles : diffuser le savoir et préparer les élèves à être de bons membres de leur communauté. Le code source, ainsi que les méthodes du logiciel libre, font partie des savoirs humains, alors qu’au contraire le logiciel privateur1 fait intervenir un savoir secret, fermé qui est à l’antipode de la mission des institutions éducatives. Le logiciel libre est une aide à l’éducation, quand le logiciel privateur l’interdit.

Le logiciel libre n’est pas limité à son aspect technique ; il a aussi une dimension éthique, sociale et politique. Il s’agit des droits de l’homme que les utilisateurs de logiciel devraient posséder. La liberté et la coopération sont deux valeurs essentielles du logiciel libre. Le système GNU implémente ces deux valeurs, ainsi que le partage, car le partage est bon et bénéficie au progrès de l’humanité.

Pour en savoir plus, reportez-vous à la définition du logiciel libre et à notre article : Pourquoi le logiciel doit être libre.

Téléchargez et regardez cette vidéo de six minutes, sous-titrée en français au format libre Ogg Theora (ogv) dans laquelle Richard Stallman explique brièvement et précisément les grands principes du logiciel libre et leurs rapports à l’éducation:

http://www.gnu.org/education/rms-education-es.fr.ogv

***

Les logiciels libres dans l’enseignement

Les théorèmes, formules ou encore les démonstrations mathématiques sont libres depuis toujours. Ils ont été établis par des savants conscients que leur apport à la société devait profiter à tous, sans entrave [1]. Nous n’avons en effet pas besoin d’acheter une licence pour pouvoir utiliser le théorème de Pythagore ! De plus, nous pouvons nous baser librement sur les travaux du philosophe et mathématicien grec pour élaborer de nouvelles théories.

L’éducation au sens large, bien au delà du domaine restreint des mathématiques, doit être libre, accessible à tous et indépendante des principaux centres de pouvoirs (politiques, financiers, économiques,…). Une de ses vocations principales est justement de perpétuer de générations en générations, les valeurs et connaissances qui ont permis de construire notre civilisation.

Les logiciels libres permettent de dynamiser les échanges collaboratifs, notamment entre institutions liées à l’enseignement. Si un besoin spécifique émerge dans une école, un logiciel remplissant ce besoin peut être développé, en collaboration avec d’autres écoles. En fin de compte, tout organisme intéressé (qu’il ait participé à l’élaboration du logiciel ou non) peut en profiter librement, sans avoir à débourser quoi que ce soit.

Voici quelques exemples de logiciels libres destinés à l’enseignement (soit pour l’organisation de l’enseignement, soit pour l’enseignement pédagogique destiné aux élèves et étudiants) – extraits :

Destinés aux enfants, élèves, étudiants,…

  • GCompris – Logiciel éducatif qui propose des activités variées aux enfants de 2 à 10 ans.
  • TuxMath – Logiciel de la suite Tux4Kids orienté sur l’arithmétique pour les enfants.
  • OOo4Kids – Suite bureautique allégée pour les enfants.
  • Kgeography – Outil d’apprentissage de la géographie.
  • GNUsolfège – Logiciel d’entraînement au solfège.
  • Stellarium – Planétarium.
  • Avogadro – Visualiseur et éditeur de molécules en 3D.

Destinés aux enseignants

  • Pyromaths – Générateur de fiches d’exercices de mathématiques au format pdf.
  • LESOL – Laboratoire de langues et d’Enseignement en Standards Ouverts et Logiciels Libres.
  • Dokeos – Suite e-learning complète. Elle fournit aux entreprises, écoles et administrations les outils dont elles ont besoin pour produire des cours, organiser la formation et assurer l’interaction et le suivi des stagiaires.
  • Claroline – Plate-forme Open Source de formation à distance et de travail collaboratif.

Il en existe pour tous les goûts et tous les besoins

Tout comme il existe des logiciels éducatifs pour les enfants, il existe également des distributions Linux dédiées à l’éducation :

  • PrimTux : c’est une distribution, développée en collaboration avec ASRI éducation, basée sur Debian qui est simple & intuitive. Elle est adaptée à l’école primaire & conviendra parfaitement aux élèves, mais aussi aux enseignants. Elle n’est pas seulement une distribution éducative, c’est aussi un guide d’intégration du numérique en classe & des favoris pour aider à la préparation…Primtux-banniere.png
  • ASRI Education : c’est un système complet, basé sur le travail de la distribution Toutou Linux, qui s’installe à la place de Microsoft Windows et vous propose un environnement stable pré-configuré pour un usage scolaire (enfant ou adulte). Il propose des outils et logiciels variés pour la maternelle, l’élémentaire ou niveau adulte &  comprend une grande quantité de logiciels pédagogiques ou éducatifs triés et sélectionnés.Asriedu-edu-livecd.png
  • FramaDVD École : c’est une contribution pour le développement des TUIC (Techniques Usuelles de l’Information et de la Communication) et en particulier des logiciels libres dans les classes.dvd L’objectif de ce DVD est d’offrir aux élèves et aux enseignants tous les outils pour utiliser les TUIC régulièrement dans leurs apprentissages. Ce DVD a été conçu spécialement pour les élèves et les enseignants des écoles maternelles et élémentaires. Il peut tout aussi bien être utilisé en classe qu’à la maison. Il contient de nombreux logiciels, une encyclopédie pour enfants, des ressources pédagogiques libres & la distribution ASRI Éducation.

 

  • Scolbuntu : c’est une distribution dérivée d’Ubuntu à destination des écoles qui s’inscrit dans l’idée de l’adaptabilité & de la simplicité. L’objectif est d’offrir aux écoles un système d’exploitation simple & rapide afin de promouvoir l’esprit du logiciel libre & des ressources éducatives.

***

Rappelons à l’occasion l’article de Richard Stallman : Pourquoi les écoles devraient utiliser le logiciel libre et l’enseigner :

Petite mise en lumière d’un article du site de Free Software Foundation de Richard Stallman.

Quand on regarde ce qui a été fait dans ce domaine à l’Éducation nationale française ces cinq dernières années (à savoir pas grand chose), on se dit qu’il y a encore du pain sur la planche…

On notera que l’on n’oppose pas outils et savoirs informatiques et que dans les deux cas le logicel libre est plus que pertinent.

URL d’origine du document

Free Software Foundation – licence Creative Commons By-Nd
Version du 2 février 2012 – Traduction  : Pierrick L’Ébraly

Les écoles devraient apprendre à leurs élèves à devenir les citoyens d’une société forte, compétente, indépendante et libre.

Ce sont les raisons principales pour lesquelles universités et écoles de tous niveaux devraient n’utiliser que du logiciel libre.

>>> suite @ http://framablog.org/2012/03/06/ecole-logiciel-libre/

***

Dans ce contexte, on peut se poser les questions suivantes :

  • Pourquoi un tel lobbying de Microsoft (& Apple) dès l’école primaire ?
  • Pourquoi l’Éducation Nationale se laisse « séduire » par Microsoft (& Apple) ?

 

Voici donc quelques articles abordant ces problématiques :

Comment Microsoft cherche à s’imposer dans les écoles françaises

Au début du mois, le magazine Spécial Investigation de Canal+ a diffusé un reportage réalisé par Pascale Labout consacré à « l’école du futur », en s’intéressant notamment au lobbying exercé par les multinationales, et en particulier par Microsoft, pour intégrer les salles de classe et écarter les logiciels libres.

Le documentaire s’attarde sur la classe immersive de Microsoft créée pour vanter ses solutions d’éducation interactive, sur son très discret mais très important sponsoring des forums des enseignants innovants parrainés par l’éducation nationale, sur la Journée académique de l’innovation et du numérique éducatif organisée par l’Académie de Paris… au siège de Microsoft, ou encore sur le lobbying exercé par le Syntec contre un amendement qui prévoyait de donner la priorité aux logiciels libres dans l’éducation nationale.

Cette partie du reportage a été mise en ligne par le site Romain Lubrique, consacré au domaine public :

J’en viens donc à vous livrer ici la conférence TedX du fondateur de FRAMASOFT :

Éducation : priorité au logiciel libre ou respect de la « neutralité technologique » ?

On commence à connaître la chanson et elle est emblématique de l’époque actuelle  : le privé qui s’alarme et demande au public de le soutenir sur le dos des biens communs.

Ici nous sommes dans le secteur sensible de l’éducation et pour refuser la priorité aux logiciels libres on est prêt à tout, comme sortir du chapeau la notion pour le moins vague et floue de « neutralité technologique » (sans oublier le FUD sur l’innovation, la croissance, la destruction d’emplois, toussa…)

L’école selon Microsoft : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer l’éducation privatrice et fermée

Deux ans après la convocation d’une centaine d’inspecteurs de l’Éducation nationale au siège de Microsoft France, l’April, Framasoft, le CNLL, SavoirsCom1 et l’Aful s’étonnent d’une nouvelle entorse à la neutralité scolaire et à l’intérêt du service public d’éducation.

& la conclusion à ce sujet de la part du collectif SAVOIRCOM1 :

« Le numérique est un processus qui transforme l’ensemble de la société en modifiant l’appropriation et le partage des connaissances. Il est essentiel que les politiques publiques en tiennent compte et préservent tout autant que promeuvent ce qui en est le cœur : la création et le partage des biens communs informationnels. »

Si vous avez un peu de temps devant vous, je vous invite à regarder la conférence de François Elie : Quelle école pour la société de l’information ?

Quelques extraits pour se motiver 😉

« Si l’école doit être quelque chose, elle doit essayer de n’être ni l’école de l’initiation, ni l’école de l’apprentissage. Elle doit être au contraire l’école où on apprend à maîtriser les choses pour ne pas dominer les Hommes. »

« Il faut cesser d’opposer l’enseignement de la programmation d’une part et l’enseignement des usages, c’est important mais ça c’est l’école des maîtres et des esclaves. Ce qu’il faut enseigner, vite et à tous, c’est la science, pas la technologie ou l’usage. C’est en amont de la programmation, l’algorithmique. C’est en amont, de telle instanciation, du codage, du chiffrement, la théorie, quelque chose qui comme les maths n’ont besoin que d’une craie et d’un tableau noir. »

« L’école est le lieu, l’enjeu d’un affrontement colossal entre ceux qui voudraient ceux qui voudraient qu’elle reste l’école de la liberté et ceux qui voudraient en faire autre chose, une école qui serait cliente captive d’un marché, des industries numériques pour l’éducation. »

« On peut difficilement enseigner la liberté avec des outils qui cherchent à dominer. Ça va être compliqué d’utiliser des outils qui sont faits pour ne pas être partagés pour apprendre à des élèves à partager. Ça va être compliqué d’enseigner à des élèves comment il faut protéger ses données en utilisant des réseaux sociaux qui sont faits pour justement les capturer. Bref apprendre l’ouverture avec ce qui est fait pour fermer, c’est compliqué. »

« L’école a tout à apprendre de la culture des hackers. Il faut apprendre à travailler comme des hackers. Nietzsche a une formule magnifique il dit « Plutôt périr que travailler sans joie ». On peut vouloir travailler comme un maître ou travailler comme un esclave. On peut aussi faire de sa vie quelque chose de plus joyeux, aimer son travail. On peut apprendre à aimer son travail à l’école. On peut apprendre à exister par la valeur de ce qu’on fait, par la valeur de ce qu’on montre, par l’image qu’on a, et pour ça, et bien le logiciel libre pourrait nous aider pour refonder l’école, pour apprendre à collaborer, pour apprendre à partager, pour apprendre à bricoler, produire ses propres outils, se former, se former sans cesse, être en veille permanente. Toutes ces qualités qui sont celles des hackers ce sont celles qu’on attend d’un élève. »

« Alors je reviens à Marx. Au 19ème siècle, il avait posé une bonne question  : « À qui appartiennent les moyens de production  ? » Et bien les moyens de production des contenus et des outils de l’école doivent appartenir à l’école. Donc la question du logiciel libre n’est pas une petite question, c’est la question même de l’école. Et la question n’est pas à l’utilisation. C’est de se mettre à l’école de ce mode de production, pour produire les savoirs, les contenus, pour rendre possible une éducation, une instruction des élèves qui leur permette d’accéder à la liberté, non par la technologie ou par les usages, mais par la science. »

***

Il est donc indispensable de rejeter ces outils numériques  » privateurs « 

& de favoriser l’usage d’outils numériques (& de ressources éducatives) « libres ».

Voici donc quelques initiatives à encourager & qui peuvent servir d’inspiration pour de nouvelles (c’est aussi ça la force du libre) :

Des parcours pédagogiques ludiques avec JLoDB | Framablog

Ces dernières années, il n’y a pas de formation pour enseignants, de lettre ministérielle, d’exposition à destination des enfants qui ne parle pas de « parcours pédagogique ». Derrière ce grand terme fourre-tout on trouve globalement l’idée de faire passer l’apprenant par différentes étapes afin de lui permettre d’acquérir une notion, une compétence… Si on veut que ce parcours soit réellement pertinent et utile, il doit pouvoir s’adapter aux différents utilisateurs. C’est là que l’utilisation d’outils numériques peut prendre tout son sens.

Quelques outils existent dans l’univers du libre. L’association Sésamath développe par exemple le superbe projet J3P, très orienté pédagogie, qui permet à l’élève de créer son parcours parmi les différents exercices planifiés par l’enseignant en fonction de ses réponses.

Agrégation et logiciels libres – LinuxFr.org

Comme annoncé dans la dépêche de 2013, cette année les concours de recrutement des professeurs agrégés de mathématiques (agrégation interne et externe de Mathématiques) n’utilisent plus que des logiciels libres.

Depuis quelques années, les concours se passent sur ClefAgreg, une clef USB « live » téléchargeable et autonome, fonctionnant désormais indifféremment sur PC ou sur Mac (intel). Cette clef autonome peut se personnaliser via l’ajout d’extensions (images sqh dans les faits). Elle a notamment été la source de la clef ISN, distribuée aux enseignants lors de la création de l’option Informatique et Sciences du Numérique dans les classes de Terminale scientifique..

Fonctionnant d’abord sur des machines Windows / Linux avec 4 logiciels dont 3 propriétaires, l’agrégation externe aura donc abandonné Windows en 2007 puis les logiciels propriétaires en 2015. Il est possible de télécharger une clef reproduisant l’environnement depuis 2007. L’agrégation interne a introduit l’utilisation de logiciels vers 2010 et le concours se déroule depuis lors sur ClefAgreg.

Une initiative à généraliser pour favoriser la mise en œuvre de solutions libres dans l’Éducation nationale | April

L’April salue l’initiative de la Délégation académique au numérique éducatif (DANE) de l’académie de Versailles, qui a confié à Louis-Maurice De Sousa la tâche « d’accompagner les établissements scolaires, les personnels d’encadrement ainsi que les collectivités locales dans leurs projets de mise en œuvre des solutions libres et des formats ouverts ». L’April appelle chacune des académies à s’inspirer de cette bonne pratique afin d’accompagner la promotion et la diffusion de ressources libres auprès de tous ses personnels d’éducation et auprès des collectivités locales.

Vmarker : un tableau numérique interactif libre | Framablog

Les tableaux numériques interactifs sont de plus en plus présents au sein des salles de classes. Même si ce matériel ne change pas en soi la manière de travailler (on peut voir des TNI utilisés de manière très frontale), ils ouvrent des possibilités intéressantes en termes d’interactions avec et entre les élèves ainsi qu’au niveau de la richesse des ressources proposées.

Mais un TNI pose deux grands problèmes aussi bien au niveau du logiciel que du matériel : le coût et un écosystème privateur.

Pour ce qui concerne le logiciel, le logiciel libre OpenSankoré fait des merveilles et peut être utilisé avec n’importe quel TNI. Au niveau du matériel, plusieurs bidouillages étaient possibles notamment le célèbre TNWii mais rien qui n’était réalisable par n’importe quel enseignant.

Depuis quelque temps, il existait un petit boitier économique permettant de transformer votre vidéoprojecteur en TNI : Vmarker. Et voici que depuis février, les développeurs de ce projet ont choisi de libérer aussi bien les composants logiciel et matériel de ce produit.

La suite libre AbulÉdu fait peau neuve – LinuxFr.org

AbulÉdu est une suite logicielle destinée à équiper les écoles. Créée en 1998, cette suite est maintenant utilisée sur un parc de 2.500 serveurs installés et environ 50.000 utilisateurs. Sous licence GPL, la suite est supportée par Ryxéo, garantissant sa pérennité et assurant son support sans nécessiter la présence d’un geek sur place.

La suite logicielle AbulÉdu est complétée par des ressources éducatives libres (Le Terrier, Pédagosite, …) élaborées principalement par des enseignants. Ces ressources ainsi que que les logiciels doivent être périodiquement réactualisés. C’est l’objet de cette nouvelle version.

Appel pour l’interopérabilité dans l’Éducation nationale

Je signe pour l’interopérabilité dans l’Éducation nationale :
Je demande la mise en place d’une règle simple et claire dans l’Éducation nationale :toute mise à disposition de documents au sein du service public de l’Éducation nationale et tous les échanges de documents bureautiques (texte, tableur, présentation) doivent se faire dans des formats de fichiers ouverts.

Fin du support XP, un collège espagnol migre vers Ubuntu – Framablog

Migrer vers Ubuntu pour un utilisateur habitué à Windows est aujourd’hui une opération relativement aisée, en particulier parce que l’on bénéficie de l’aide de la communauté à chaque étape (n’hésitez pas à rejoindre l’Ubuntu party à la Villette et des évènements libristes partout en France). Cependant, le seul fait de changer d’habitudes demeure un peu délicat et demande un temps d’adaptation à chacun. Imaginez ce que doivent être ces petites difficultés lorsque une communauté scolaire entière franchit le pas : institution, enseignants, élèves, matériels… autant d’écueils sur la voie Libre qu’un collège espagnol est en train de franchir, grâce à un activiste convaincu et passionné.

Choisir la migration c’est d’abord lutter contre une inertie de l’institution, plus prompte à conclure des contrats léonins avec Microsoft qu’à s’embarrasser de scrupules. C’est aussi s’efforcer d’échapper à une alternative pénible : être soumis à l’obligation de payer de coûteuses licences ou inviter les utilisateurs à l’illégalité en les piratant plus ou moins discrètement.

Le Master Ingénierie du Logiciel Libre (I2L) et l’apprentissage – LinuxFr.org

La voie de l’apprentissage est aujourd’hui un excellent dispositif pour augmenter l’interaction entre formation et entreprise et pour mieux intégrer l’étudiant à une dynamique professionnelle. De plus, le Master I2L faisait déjà la part belle aux intervenants extérieurs en deuxième année, mais grâce à l’apprentissage nous avons étendu les interventions professionnelles sur les deux années afin de mener des projets d’envergure (et libres, naturellement) en partenariat avec les entreprises accueillants des apprentis.

Le Master I2L est donc resté fidèle à sa démarche initiale : promouvoir le Logiciel Libre et ses technologies phares, faire prendre conscience des problématiques économiques, légales et organisationnelles.

Dans ce cadre, l’objectif est donc la formation d’informaticiens de haut niveau capables de mener à bien la mise en place de solutions informatiques basées sur l’intégration de produits et technologies issus du monde du logiciel libre et d’accompagner les organisations dans des processus de migration vers les logiciels libres ou d’intégration de ces logiciels

Logiciels et matériels libres font le bonheur de l’éducation – Framablog

Avec du logiciel et du matériel libres, on est aujourd’hui en mesure de proposer des cours tout à fait passionnants, ouverts, modulables et sans entrave à la création.

Le témoignage d’un prof qu’on aurait bien aimé avoir lorsqu’on était jeune.

Un programme universitaire qui enseigne l’interaction homme-machine avec du logiciel et du matériel libres.

***

Vous trouverez la suite de ce dossier dans un prochain billet qui sera publié sur mon second blog dans quelques jours …

 

>>> Sources & plus d’infos @

 

>>> Liens vers les 3 parties de ce dossier @

>>> Liens Bonus @


3/ Le coup de cœur ou le coup de gueule du mois :

Ce moi-ci, ça sera sous la forme d’un « mini-dossier » avec divers extraits de billets publiés au cours de l’été :

Windows 10 est-il un système d’exploitation diabolique ? – Korben

Windows 10 est-il un système d’exploitation diabolique ?

Croyez-le ou non, Windows 10 est un excellent système d’exploitation.

Je l’utilise depuis les toutes premières preview et il faut bien le dire, Microsoft a fait un excellent boulot. Seulement, voilà… Microsoft a fait un choix stratégique qui est le même que celui de Google ou Apple (entre autres).

Microsoft et MS-Windows 10 : l’espiogiciel géant caché sous la forme d’un OS sera-t-il l’objet d’une prise de conscience ? | Le Weblog de Frederic Bezies

Il ne se passe plus une semaine depuis la sortie de MS-Windows 10 sans qu’un nouveau scandale ne vienne ternir le dernier né de Microsoft.

Voici une chronologie non-exhaustive des principaux « scandales » que j’ai pu trouver :

Je publie avec un énorme décalage temporel, la faute à un planning particulièrement chargé en ce moment.

Il y a quelques semaines, j’ai observé la réaction de nombreux utilisateurs face à Windows 10 et à sa gestion de la vie privée des utilisateurs.

Windows 10 fait sa rentrée : une opportunité pour le logiciel libre ? | spirale.io

Une rentrée de plus, que dire ?

Microsoft a lancé son nouvel OS cet été, le Windows 10. Une version qui s’assume, la version que Microsoft aurait du sortir depuis longtemps : celle qui contrôle tout et espionne tout afin de protéger violemment les intérêts de la compagnie mère contre l’utilisateur frauduleux. Car oui, pour une multinationale qui veut faire de l’argent, l’utilisateur est un problème : il ne rapporte jamais assez d’argent.

Windows 10 remonte tout à son maitre, vos données, votre navigation internet, les logiciels que vous utilisez et stoppera dans le futur vos logiciels piratés. Finis les Microsoft Office crackés, les Photoshop gratuits et les jeux piratés.

Est-ce un mal au final ?

La FSF dénonce Windows 10 et appelle à passer au logiciel libre

Alors que Microsoft déploie son nouveau OS, la Free Software Foundation publie un article dans lequel l’organisation invite le public à opter en faveur des logiciels libres, en pointant les risques que fait peser Windows 10 sur la vie privée.
Je ne cacherai pas ma méconnaissance du monde Windows, elle est décrite dans cette interview. Je ne cacherai pas non plus mon aversion pour les logiciels propriétaires en général, ceux de Microsoft en particulier. Il parait qu’en ce premier jour du mois d’août 2015 sort la version 10 du fameux système de Microsoft : Windows. Et il paraît même qu’il est gratuit !
Un Windows gratuit ? Oui, en apparence, mais pas tout à fait en réalité.

Je vous invite bien évidemment à lire l’intégralité de ces billets sur leurs sites d’origine.

Vous comprendrez par là que je n’aime pas du tout ce nouveau système d’exploitation « privateur », surtout en raison des choix « éthiques » (BIGBROTHER INSIDE !).

C’est pourquoi je vous recommande de vous tourner vers la distribution GNU/Linux (ou BSD) de votre choix … la liste est longue & vous devriez y trouver votre bonheur !

>>> Source(s) & plus d’infos @


 

Rendez-vous le mois prochain pour d’autres nouvelles,

Cordialement,

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